La Cathédrale polaire des Runes
172 pages, imprimé sur un luxueux papier couché. Travail inédit richement illustré.
172 pages, imprimé sur un luxueux papier couché. Travail inédit richement illustré.
Vouloir limiter l’écriture des anciens Germains au simple rôle linguistique montrerait une méconnaissance totale de ce que leur tracé comporte réellement. Car ladite écriture, composée de vingt-quatre signes, s’impose comme un système prodigieusement élaboré rassemblant les notions essentielles constitutives de l’identité ethnoculturelle européenne. Mais cela signifie aussi que le savoir émanant des runes se relie au maître thème du légendaire de notre continent et qui, jadis évoqué par René Guénon et Julius Evola, se nomme « Centre suprême ». Thème corrélatif à la mystérieuse « Tradition primordiale » traversant toutes les religiosités qu’instituèrent nos ancêtres et englobant l’univers du symbolisme et des mythes. Le « Centre suprême » est à la « Tradition primordiale » ce que le pyramidion représente pour une pyramide : le sommet conférant à ce monument sa forme générale et ses proportions.
Dans un précédent ouvrage, intitulé Les Runes et la Tradition primordiale, il m’a été offert d’avancer le fait que chaque rune correspondait à l’un des symboles fondamentaux et chaque symbole à une donnée amenant la possible maîtrise de soi-même et de l’espace voué à notre épanouissement existentiel. En un moment où, fin du cycle des quatre Âges oblige, l’avenir de nos sociétés se retrouve si grandement menacé, le terme runoz, désignant « les runes » et, on s’en doute, l’ésotérisme que ces lettres impliquent, énonce le principe racine d’une origine civilisationnelle ainsi que la spécificité génétique propre aux peuples d’Europe.
Un livre salutaire qui, au prisme des plus récentes découvertes archéologiques, met un vigoureux coup de pied dans la fourmilière universitaire, cette entité qui n’a de cesse de réduire sciemment l’étude des runes pour de basses raisons idéologiques.
SOMMAIRE :
Introduction
chapitre i : Chaque rune est un symbole fondamental
chapitre ii : L’homme double originel et celui en maîtrise de lui-même
chapitre iii : Le divin et l’humain
chapitre iv : Les runes et le « maître des runes »
chapitre v : Le soleil polaire
chapitre vi : Ce qu’énonce la rune
chapitre vii : L’être et son corps subtil
chapitre viii : Alu, origine du monde manifesté
chapitre ix : 111, le nombre du pôle
chapitre x : Les runes et le pôle
chapitre xi : La montagne polaire
chapitre xii : Le solfège des runes
conclusion
L’angle droit pour conclusion
bibliographie